Nouvelle: "Chronique d'Hypoc-Sur-Hart" de Zalhoud

Salut Farid
J’ai lu et relu cette histoire superbement écrite.
Il faut vraiment faire un effort pour comprendre certains mots (dictionnaire !!!!).
un vrai chef-d’oeuvre qui a tout son poids, tu décris les lieux, les personnages, l’environnement avec tant de détail, de précision et d’imagination.

Une histoire triste, des personnages qui n'attendent plus rien au monde qui les a détruits...
je cite:
« Ici, les hommes ne parlent pas ; ils grognent, bouffent, font des mômes, jouent aux cartes et se cassent la pipe sans histoires. Nous les femmes, les oies qui se disputent la parole, nous jacassons ensemble sans pouvoir en finir. Causer, n’est-ce pas monsieur ? Cà fait du bien comme écrire. Quand on n’attend plus rien au monde, quand on réalise que l’on se répète, la vie, même riche, même heureuse, même longue, n’est qu’un châtiment absurde. Parler est donc le seul acte expert substitut de l’inexprimable. »


Tanmirt agma zalhoud f tallast ad lli ditengh tedrit.
ayyuz nk.

Mon cher Zalhoud, je me rappelle bien de cette nouvelle, que j'avais découverte sur un autre forum. Je suis content de la retrouver ici. Elle pourraît être la trame d'une bonne pièce de théâtre. Connais- tu Koltès, le dramaturge? Ta nouvelle me rappelle un peu son univers et ses personnages.